The discussion and meaningful dialogue is more important
to the original peoples of this lands, (United States, Canada and Mexico)
without defining lands by borders. The bisection and marginalization of people
is reflected in the space this "Significance of the Declaration on the Rights of
Indigenous Peoples Conference" is held. Yes, Not only am I unable to pay for the
parking space, but I don't have the gas money to bring the elders and the
ceremonial people. These are the people that these institutions should be
hearing from to truly understand the implications and true significance of this
document. It is disheartening to find on the speakers list a non-O'odham with a
non-profit organization using our most sacred figure of the O'odham way of life.
This official consultation will further validate this violation and further the
agenda of this individual, WHICH is supposed to be protected by this document.
This questions the individuals, organizations and non-profit organizations and
instant organization represented on this speakers list. Are they representatives
of the people or of individuals there to overshadow the real issues. I am on the
speakers list only by a 5 day "extreme effort" by the Amnesty International
people, since I was apart of the report on Human rights violations on the
border, (Us/Mx), I will be speaking on the human Rights violations of the
O'odham by the homeland security forces and the impact of US Immigration
policies on our people. I represent the Traditional O'odham Leaders the original
government of the O'odham and the ceremonial leaders.
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By Brenda Norrell
Foremost is the question of whether the original people of this land will be respected, the
Traditional Ceremonial Tohono O'odham. (See Ofelia Rivas' statement from the traditional and ceremonial O'odham on the left column.)
Is the process of testifying at this session so
academic and complicated that grassroots Indigenous are excluded? Will
non-Indians trying to seize control of Indian organizations, and grant funding,
be given priority?
The University of Arizona in Tucson, with its long history
of Indigenous rights abuses, is serving as a cosponsor of this event. Should it
be? The University of Arizona at Tucson, led the assault and
desecration on sacred Mount Graham, along with the Pope and
other universities. The consortium desecrated the sacred mountain of Apaches and other Indian Nations with their huge telescopes and cleared the land for development.
Now, the university is engaged in developing spyware that
spies on Tohono O'odham and other Indigenous along the border. The university
is engaged in teaching racial profiling at the border and the development of
drones that kill civilians worldwide. These drones also carry out assassinations, without trial or jury, by the US.
Globally, the University of Arizona is engaged in,
and teaches, global cyber spying, which includes racial profiling and religious profiling of Muslims and other targeted peoples of color. The university is co-opted by the agenda of Homeland Security and the US Border Patrol.
All
of this is a matter of public record, and facts that the university brags about
in press statements.
As for the UN sessions for Indigenous Peoples testimony, Native Americans ask these questions:
Further, these UN events attract the wannabes: The
suddenly-Cherokee and the "Yaqui" who Yaquis will tell you are frauds.
Why do
the wannabes do it? They write grants for the organizations that include salaries or
expenses for themselves. Controlling the funding is the first step to controlling the organization.
The ever-present tribe changers, who change their
tribes once they are exposed, or use a mix of tribes to conceal the truth,
usually show up centerfront to demand attention.
Also troubling are the
sponsors of the Tucson session. Along with the university, one of the cosponsors is the Ford
Foundation. The Ford Foundation Board of Trustees includes a member of Goldman Sachs. Robert Kaplan, professor at Harvard Business School and a senior director of The Goldman Sachs Group, serves on the Ford Foundation Board of Trustees
However, there are no sponsors for the parking fees for
grassroots Indigenous Peoples. The parking fees are $8 a day.
Will the
well-funded, the academics, the showboats and the wannabes take centerstage?
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DES QUESTIONS TROUBLANTES SUR LA SESSION DU RAPPORTEUR DES NATIONS UNIES, SES INTERVENANTS ET SES SPONSORS : PAR OFELIA RIVAS, O’ODHAM
Par Ofelia Rivas
O’odham traditionnelle et cérémonielle, à propos de la session avec le Rapporteur Spécial des Nations Unies pour les Peuples Autochtones à Tucson les 26 et 27 avril 2012
Censored News
Original article in English:
http://bsnorrell.blogspot.fr/2012/04/troubling-questions-for-un-rapporteur.html
Traduction Christine Prat
La discussion et le dialogue constructif sont plus importants pour les peuples d’origine de ces territoires (Etats-Unis, Canada et Mexique) que de définir des pays par des frontières. La division et la marginalisation des gens sont reflétées par l’endroit où cette « Conférence sur le Sens de la Déclaration des Droits des Peuples Autochtones » se tient. Non seulement je n’ai pas les moyens de payer le parking, mais en plus, je n’ai pas l’argent pour payer l’essence pour y amener les Anciens et les leaders cérémoniels. Ce sont les gens que les institutions devraient entendre pour vraiment comprendre les implications et le sens réel de ce document. C’est démoralisant de trouver sur la liste des intervenants un non-O’odham d’une ONG qui utilise la figure la plus sacrée du mode de vie O’odham. Cette consultation officielle contribuera à valider cette violation et favorisera les fins de cet individu, CE QUI est sensé être protégé par ce document. Ceci met en question les individus, les organisations, les ONG et l’organisation improvisée représentés sur la liste des intervenants. Représentent-ils le peuple ou des individus venus pour détourner l’attention des questions réelles. Je ne suis sur la liste des intervenants qu’après 5 jours « d’effort intense » de la part de gens d’Amnesty International, vu que j’étais impliquée dans le rapport sur les violations des Droits de l’Homme à la frontière (US/Mexique), et je parlerai des violations des Droits de l’Homme des O’odham par les forces de sécurité intérieures et de l’impacte de la politique d’Immigration des Etats-Unis sur notre peuple. Je représente les Leaders Traditionnels O’odham, le gouvernement d’origine des O’odham et leurs leaders cérémoniels.
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DES QUESTIONS TROUBLANTES SUR LA SESSION DU RAPPORTEUR DES NATIONS UNIES, SES INTERVENANTS ET SES SPONSORS
Original article in English:
http://bsnorrell.blogspot.fr/2012/04/troubling-questions-for-un-rapporteur.html?spref=fb
Par Brenda Norrell
Censored News
Traduction Christine Prat
Jeudi 26 avril 2012
TUCSON, Arizona – Les sessions du Rapporteur des Nations Unies consacrées au témoignage des Peuples Autochtones [de la région] se tiennent jeudi 26 et vendredi 27 avril 2012, à Tucson. Censored News a reçu beaucoup de commentaires exprimant des inquiétudes sur cette session, ses intervenants et ses sponsors.
La question essentielle est de savoir si le peuple d’origine de ce territoire, les Tohono O’odham Traditionnels Cérémoniels , sera respecté. (voir la déclaration d’Ofelia Rivas pour les O’odham traditionnels et cérémoniels).
Est-ce que témoigner à cette session est si académique et compliqué que les Indigènes de la bases en sont exclus ? Est-ce que des non-Indiens essayant de prendre le contrôle des organisations Indiennes, et des subventions, auront la priorité ?
L’Université d’Arizona de Tucson, avec sa longue histoire de violation des droits des Indigènes est co-sponsor de l’évènement. Est-ce normal ? L’Université d’Arizona de Tucson a conduit l’assaut et la profanation du site sacré Mount Graham, avec le Pape et d’autres universités. Le consortium a profané la montagne sacrée pour des Apaches et d’autres Nations Indiennes en plaçant des télescopes géants et en débroussaillant le territoire pour le développement.
Maintenant, l’université est en train de développer du matériel d’espionnage pour espionner les Tohono O’odham et d’autres Indigènes le long de la frontière. L’université enseigne les techniques de fichage racial à la frontière et de développement de drones qui tuent des civils dans le monde entier. Ces drones servent aussi aux Etats-Unis pour commettre des assassinats sans jugement et sans jury.
En gros, l’Université d’Arizona développe et enseigne le cyber espionnage global, y compris le fichage racial et religieux des Musulmans et d’autres peuples de couleur désignés comme cibles. L’université est cooptée par la Sécurité Intérieure et la Patrouille des Frontières des Etats-Unis.
Tout ceci est du domaine publique et l’université s’en vante dans ses communiqués de presse.
Pour en revenir aux sessions des Nations Unies consacrées au témoignage des Peuples Autochtones, les Amérindiens posent les questions suivantes :
. Est-ce que la rhétorique sert de diversion et se substitue à l’action ?
. Est-ce qu’en fin de compte des témoignages forts sont dilués dans des résumés des Nations Unies courts et insignifiants ?
. Les Nations Unies font-elles jamais quelque chose, en termes pratiques, des témoignages qu’elles reçoivent ?
. Les Nations Unies entreprennent-elles jamais des actions donnant des résultats, sur la base de ces témoignages ?
Ensuite, ces occasions officielles des Nations Unies attirent ceux qui « voudraient en être » : les Cherokees par génération spontanée et les « Yaqui » dont les Yaquis vous diront qu’ils sont des imposteurs.
Pourquoi veulent-ils « en être » ? Ils écrivent des accords d’attribution de subventions qui comprennent leurs salaires et leurs frais. Contrôler le financement est le premier stade pour contrôler l’organisation.
Et il y a toujours ceux qui changent de tribu chaque fois qu’ils sont découverts, ou prétendent avoir des origines mêlées pour dissimuler la vérité et qui généralement se mettent en avant et exigent l’attention.
Tout aussi troublant : les sponsors de la session de Tucson. A côté de l’université, l’un des co-sponsors est la Fondation Ford. Le Conseil d’Administration de la Fondation Ford compte parmi ses membres quelqu’un de Goldman Sachs. Robert Kaplan, professeur à l’Ecole de Commerce de Harvard et l’un des directeurs du groupe Goldman Sachs, fait aussi partie du Conseil d’Administration de la Fondation Ford.
Cependant, il n’y a pas de sponsors pour payer les frais de parking des Indigènes de la base. Le parking coûte $8 par jour.
Les subventionnés, les universitaires, les vedettes et les pseudos occuperont-ils le centre de la scène ?
Publié par
brendanorrell@gmail.com
http://www.chrisp.lautre.net
2 comments:
Wannabes....perhaps, as an apple and a suddenly-Cherokee, I should not comment out of fear of judgement. However, solid in my identify and not ashamed to admit my ancestors failed to register, I will use my voice. Recognized tribal members do themselves a disservice by not reaching out to those who were assimilated. If we were included among your number and embraced, perhaps we would better represent the people and be better attuned to the emergent needs of our kin. I don't participate at all, because as an apple, I know my place. Is that the real goal of the recognized?
My question is: who in particular owns the identity of culture and being...and most of all liberty? You see spokespeople claiming to know, but who really knows? How am I supposed to make sense of the many issues, if they is foreign to me; but also at the same time, mean more than myself.
Under occupation, the more or less invisible, but visible tangible condition, Indigenous peoples in the United States are romanticized and forgotten; but to those living here, there is an all out assault from within and without, as the US continues its ongoing war.
I do not believe this is only an Indigenous issue, but a Human one. Indigenous rights in all aspects should be respected the world over; however, that is why sites like this exist which highlights what is fact, from what is fiction. The more laws proposed and corruption exposed, concerning Indian Country the better. But as I read the captions I am in awe; an awe that cannot be contained in words because within a span of 200 years, leaders within our communities have turn their backs on their own people to the detriment of the overall health and quality of life that they should be capable of attaining. This amounts to the larger crime against humanity of repeating the atrocities of the past, and in continuing to do so as a leader or citizen of your respective tribe. And I suppose that is why many self-exiled themselves to the cities because of the corruption and societal degradation. But, besides all the doom and gloom, there are those in the fight and I thank them for caring for something better and brighter, especially those that say No to the authoritarian regime which cannot pummel the soul of a people. They have tried, but we still stand strong....
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